Notre cerveau

Notre cerveau en question :

Notre cerveau s’est construit par enrichissement. Le cerveau émotionnel primaire, siège des réactions de survie est complété par le cortex ou néocortex. Il est le siège des facultés particulières qui sont à la base de notre évolution : j’apprends, j’envisage, je prévois, je contrôle, j’anticipe, ect

Le cerveau primaire, lui, nous permet de réagir d’instinct face à un danger immédiat ou d’assurer et de moduler automatiquement les nombreuses fonctions du corps.

Très tôt dans l’enfance, cette partie du cerveau va appréhender le monde qui nous entoure et la place qui convient pour nous via nos sens, en fonction de ce que nous vivons à ce moment là.

Ces sont ces perceptions émotionnelles primaires qui vont guider nos chois via nos émotions et influencer notre santé ausii boe émotionnelle que physique, via ,notre corps. Et cela en dehors de toute décision ou volonté consciente.

Un rééquilibrage émotionnel nocturne quotidien :

Tout au long de la journée, nous éprouvons des émotions plus ou moins agréables, plus ou moins désirées.

Ces émotions vont être triées, « digérées » et intégrées pendant la nuit, lors des phases de sommeil paradoxal.

Si ce tri, et cette intégration, sont mal fait ou de façon incomplète, des troubles physique et/ou émotionnels vont apparaître et se cumuler au fil du temps.

Quand cela devient un problème :

  • Des souffrances dans l’enfance,
  • Un accident de la vie (deuil, agression, licenciement, accident, choc physique ou moral, etc),
  • Peuvent produire immédiatement ou des années plus tard par accumulations du stress : anxiété, insomnie, TOC, troubles alimentaires, tendances suicidaires, agressivité, mamque de confiance en soi, peurs, etc…

Comment agit l’E.P.R.TH :

Le thérapeute EPRTH va déterminer avec son patient les troubles ressentis dans le présent et/ou les traumatismes connus par lui.

Au cours de la séance les mouvement oculaires rapides (REM) du sommeil paradoxal vont être reproduits volontairement pour aider le cerveau émotionnel à intégrer ce qui ne l’a pas été.

Il ne s’agit donc pas d’analyser le contenu de la perturbation, mais d’enlever les blocages qui perturbent le processus naturel et quotidien d’intégration des informations.

Une fois ces blocages levés, l’information est perçue pour ce qu’elle est, sans créer de réaction négative ou perturbante.

La réaction émotionnelle excessive est désactivée.

La personne ainsi libérée de souffrances souvent très anciennes, et cela de façon durable.